Mon petit larcin : «On voit un billet de 100 francs qui traîne depuis un moment»
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Des bonbons chez l’épicier, une pièce dans le portefeuille des parents, un bibelot dans une boutique… Presque tous les enfants et ados ont déjà commis un petit larcin, parce que cela leur faisait envie ou pour se la jouer auprès des copains. Que l’on se soit fait attraper ou non, ces petits vols restent souvent gravés dans notre mémoire. En septembre, un buraliste d’Uzès, dans le Gard, a ainsi reçu une lettre d’excuses et 50 euros d’un homme qui lui avait volé des sucreries étant enfant… Libération a recueilli des histoires de menus larcins. Aujourd’hui, Franck (1), 40 ans, raconte la culpabilité qu’il ressent encore aujourd’hui après avoir dérobé 100 francs à sa tante.
«Avec mon cousin Elias, on est fourrés toujours ensemble à chaque vacances scolaires, sauf l’été. On a 10 ans. On passe chacun une semaine chez l’autre. Nos parents sont très proches aussi. On est perçus
Libération